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Présentation
: Laurent et Romain Berlivet |
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Caractéristiques techniques
Nom : Gemini
Marque : Robbe
Envergure : 52 cm
Longueur : 73 cm
Surface : 19 dm²
Masse : 400 g
Charge alaire : 21 g/dm²
Moteur : Typhoon Micro 6/20
Batterie : 3S 1200 mAh
Hélice : GWS 7"x3.5" |
La cellule du Gemini est moulée d'une
pièce,
dans un matériau expansé presque incassable
appelé Arcel chez Robbe. |
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De multiples picots de démoulage couvrent la surface.
Il est possible de les atténuer avec un léger ponçage. |
Le dessous des patins est recouvert
de plastique thermoformé qu'il faut découper
avec précision puis coller. |
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Le décor adopté n'est
pas celui proposé par le fabricant. Nous avons choisi un
thème beaucoup plus coloré, réalisé
à la bombe adaptée au polystyrène (à
cause de la dérive en dépron). |
On devine les morceaux de ruban de
masquage qui seront retiré dès que la peinture commence
à sécher car son adhérence est moyenne sur
la mousse. On évite ainsi de la "peler". |
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Sous la verrière, la place est comptée.
Ici, l'accu est un Li-Po 3S 1050 mAh et le récepteur un compact
SMC16. |
Le servo de profondeur est placé
à l'arrière de la cabine. Sa commande est doublée
pour actionner les 2 volets. |
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Le moteur ne doit pas être trop lourd si on veut
éviter un centrage trop avant.
Ici, c'est un Typhoon Micro 6/20. |
Les servos de roulis sont placés
à l'air libre, pas totalement à l'abrit des projections
d'eau. Le câble passe dans une rainure en surface.. |
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Détail d'un servo d'aileron, partiellement encastré
dans l'épaisseur de l'aile. |
La dérive est en Dépron.
Son volet mobile peu utile en vol, est indispensable au sol et
sur l'eau. |
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Le servo de direction et sa commande en jonc de carbone
serré par une chape plastique à vis. |
Les guignols articulés sont
en plastique. Attention : par temps très froid, ils cassent
alors facilement. |
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Dans l'eau, le Gemini
fait girouette et se met dans l'axe du vent. Difficile de l'en
faire sortir tant qu'il n'a pas de vitesse. Au ralenti, pour aider
à virer, la bonne méthode constite à mettre
les ailerons à l'opposé de la dérive, ainsi,
l'aileron trempe dans l'eau et agit par freinage. |
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Le déjaugeage se fait tout seul, les patins n'ayant
aucune tendance à faire ventouse sur l'eau. Il est possible
de glisser à très grande vitesse sans risque de se
retourner. |
Le sol est ici en terre. Ca glisse
toujours aussi bien, mais attention à l'usure des patins
car le fond en plastique est fin ; il pourrait facilement être
perforé par une pierre.. |
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La géométrie est original... Delta, aile
volante ? Le dièdre est en W comme sur une aile de Corsair. |
Le décor voyant permet de ne
pas être perdu en vol à cause des formes particulières. |
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L'engin est stable et précis.
On n'hésite pas à lui coller une caméra embarquée,
même sur l'eau. |
C'est un vrai 4x4 qui passe partout,
même sur l'herbre, tant que celle-ci n'est pas trop haute
et ne vient pas taper dans l'hélice. |
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La plage de centrage est
vaste, la caméra placée à l'avant ou à
l'arrière ne perturbe que très peu le comportement
du Gemini. |
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6 mois séparent
ces 2 photos... Entre-temps la température a bien changé,
même si le terrain de vol n'est pas le même. Par contre,
le plaisir de la glisse et du vol est toujours présent. |
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Longue glissade sur l'eau, les patins
effleurant à peine la surface. |
Virage serré façon course
au pylônes. Les trajectoires sont tendues. |
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Le Gemini n'est pas une bête de 3D,
mais il peut effectuer les figures de voltige
de base et tient correctement le vol dos.
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Un petit tapis de neige fraîche : les atterros
en douceur sont assurés.
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Sur lac glacé,
c'est du bonheur. Le Gemini glisse avec un filet de gaz et dérape
dans les virages.
On maintient l'assiette à la profondeur et aux ailerons
afin d'aller le plus vite possible sans décoller.
Pour atterrir, mieux vaut un kiss landing qu'un appontage car
la glace est dure |
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Cette petite vidéo montre le
Gemini dans différents milieux : eau, air, terre, glace,
sable, herbe...
Toujours à l'aise ! |
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