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16 janvier 2010
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Présentattion : Nicolas Leroy

 

 

On le voit sur les terrains de France et de Navarre (voir aussi l’article) de Laurent Schmitz visible sur ce même site), la mode en matière de radio est au 2,4 GHz.
Très satisfait des récepteurs modernes en 41 MHz, j’ai longtemps tenté de résister en disant que c’était tant mieux, que ça faisait moins de monde avec qui partager les fréquences.

C’est mon passage à des machines électriques de plus en plus grosses et puissantes qui ont changé la donne. En l’occurrence un Elektromaster de Tangent (voir l’article de Francis Faivet) avec lequel je me suis trouvé confronté à de gros problèmes d’interférences dues à la motorisation.
Après moultes tentatives à base de ferrites, papier alu et échange de récepteur, il fallu me rendre à l’évidence : en 2,4 GHz, je n’aurais pas tous ces problèmes.

... Et c’est là que ça se complique...

Le choix d’un tel système n’est en effet pas anodin. Les protocoles étant totalement incompatibles d’une marque à l’autre, il convient de bien choisir, car il ne sera plus possible ensuite d’échapper aux récepteurs de la marque… quel que soit leur prix, parfois élevé.
La grande diversité de solutions techniques en œuvre offre aussi de grandes différences de fiabilité de la transmission.
Il me fallait enfin un système capable d’émettre en 2,4 GHz et en 41 MHz au choix, afin d’assurer une transition en douceur sans devoir changer tous mes récepteurs d’un seul coup.

C’est le système Jeti Duplex qui m’a tapé dans l’œil.

http://www.jetimodel.com/

Sur le papier, il semble très intéressant :

Il n’est pas trop cher, situé juste entre les systèmes chinois à bas prix et les ténors du marché japonais et allemands et, bien qu’assez récent sur le marché, il offre déjà une belle variété de modules, récepteurs et sondes.
(100 € le module Tx, de 50 à 120 € le récepteur, sondes de 30 à 60 €).

Il dispose d’une sécurité de transmission au niveau des meilleurs, utilisant réellement deux antennes en diversity et fonctionnant en “frequency hopping”, le système changeant de canal à la volée en cas de perturbation.

Il implémente aussi une voie de retour d’informations du récepteur à l’émetteur, offrant en standard un contrôle au sol de la qualité de réception, ainsi que la tension d’alimentation du récepteur, avec une alarme dont le seuil est réglable. A cela vient s’ajouter toute une panoplie de sondes permettant d’à peu près tout mesurer à bord du modèle, d’autant plus que Jeti a eu l’intelligence de laisser le protocole de communication de ces sondes ouvert, permettant à des sociétés tierces de commercialiser des produits compatibles.

Sont disponibles pour le moment des sondes analysant la tension et l’intensité passant aux bornes d’une batterie de propulsion, avec plusieurs modules pour des courants de 30, 50, 75 et 150 Ampères, une sonde se branchant sur la prise d’équilibrage de l’accu afin de monitorer ses différents éléments en temps réel (jusqu’à 6), une autre pouvant mesurer trois tensions différentes, d’autres vous indiqueront votre régime moteur, la température en plusieurs points de l’avion et même l’altitude et le taux de montée d’un planeur avec la sonde variomètre.
D’autres fabricants commencent à rendre leur matériel compatible, tel que le lolo (non Laurent ! pas toi !) de lomcovak.
Et le système Unilog de SM Modellbau, très complet.

Enfin, les récepteurs Jeti offrent une foule de fonctions assez rares jusqu’alors et réservées à des systèmes haut de gamme, offrant des possibilités dignes d’une bonne radio programmable : Fail safe, affectation des voies aux différentes sorties, mixages entre voies, fin de course des servos et même exponentiel ! Il devient ainsi possible de piloter un modèle avec un empennage en V ou une aile volante avec une radio basique sans mixage. On peut aussi pallier à un manque de voies de l’émetteur, par exemple en n’utilisant qu’une seule voie d’un émetteur pour commander les deux servos d’un stab de grand modèle en les affectants à deux sorties du récepteur, à l’aide d’un mixage, tout en pouvant les régler finement individuellement (fin de courses, inversion du sens de rotation etc.). Un autre paramètre intéressant est le réglage de vitesse d’un servo, utile pour ralentir la sortie d’un train d’atterrissage ou de volets d’aérofreins, par exemple.

Tous les récepteurs sont bien sûr équipés d’un connecteur permettant de brancher une sonde, ainsi que, sur les haut de gammes à 14 et 18 voies, d’une possibilité de brancher un “satellite” qui est en fait un second récepteur, assurant une sécurité de transmission accrue.

En outre, dans le cas d’un besoin d’un grand nombre de voies, outre les nouveaux 14 et 18 voies, il est possible de coupler deux récepteurs en en rendant un esclave de l’autre. Ainsi, un R5 couplé à un R8 offrira un total de 13 voies distinctes disponibles, par exemple.

L’existence d’un récepteur 18 voies avec un module Tx n’en gérant que 16 peut sembler étrange mais se justifie par les possibilités de mixage du récepteur. Il est parfaitement possible ici de gérer 18 servos avec un émetteur 12 voies.

Dans le cas où l’envie vous prendrait d’utiliser plusieurs sondes dans le même modèle, il faudra alors passer par un module extendeur, dotés de quatre ou huit ports en entrée et relié en sortie à la prise idoine du récepteur.

Il existe évidemment toute une gamme de modules Tx adaptables directement aux différentes radios du marché, ainsi qu’un module plus universel prévu pour être installé dans la radio hôte en prélevant les signaux et tensions nécessaires au niveau de la prise écolage ou du module HF d’origine.

La visualisation des informations de télémétrie et le paramétrage du système, Tx, Rx et sondes se fait sur la JetiBox reliée au module par un câble servo. Il est néanmoins possible de piloter sans la box une fois la programmation du récepteur effectuée. Cette box peut aussi rendre d’autres service, puisqu’elle sert à programmer les contrôleurs Brushless de la marque, mais sait aussi analyser les trames PPM sortant d’un récepteur et servir de testeur de servo.

Il est à noter que cette box, à l’ergonomie peu adaptée à cette nouvelle utilisation, devrait être complétée courant 2010 par une autre, bien plus fonctionnelle, dotée d’un afficheur plus grand et d’une connexion sans fil. On peut même espérer d’autres fonctions bien plus puissantes, comme la possibilité d’enregistrer les données des sondes, afin d’en permettre une analyse plus fine après le vol… A suivre.

Voilà pour les principes du système.

Pour ma part, souhaitant conserver à ma RoyalEvo 9 Multiplex la possibilité d’émettre en 41 MHz, j’ai choisi d’installer le module universel Jeti Tu.
Le module mesurant 55 x 28,8 x 9 mm loge aisément dans la radio, juste derrière l’écran. On dirait même que c’est prévu pour :
Le trou de fixation du module tombe pile en face de la vis qui maintient la patte de support de l’antenne 41 MHz. Il suffit de remplacer celle-ci par une autre plus fine (confectionnée ici avec un bout de collier nylon).
Pour ce qui est de la mécanique, il reste à percer deux trous dans la coque pour le connecteur d’antenne et l’interrupteur sécurisé permettant de passer de 41 MHz à 2,4 GHz.

Il est temps de faire un peu d’électricité

J’ai choisi d’aller chercher les signaux nécessaires (PPM, +Ubat, GND) sur l’embase de la prise d’écolage, ainsi qu’un quatrième fil qui, relié à la broche 5 de la prise, coupe l’alimentation du module HF 41 MHz et active la sortie du signal PPM lorsqu’il est relié à la masse.

Il faut ensuite amener tout ça au module et au switch.
- branchements comme suit :

  • broche 4 (PPM) vers le module
  • broche 2 (+Ubat) vers le module aussi
  • broche 3 (GND) vers le module et un pole du switch, en parallèle
  • broche 5 (HF off) vers le switch

- au niveau du switch, deux circuits :

  • un avec les broches 3 et 5 pour couper l'émission du module HF 41 MHz et activer la sortie PPM de la radio
  • un connecté au module Jeti à la place du jumper 2,4 GHz on/off pour allumer le module 2,4

Principal inconvénient du système : on ne peut pas faire d'écolage maître avec le module Jeti. par contre, ça marche toujours avec le 41 MHz.
Il est aussi possible de souder les fils non pas sur la prise écolage mais directement sur le module HF, ce qui devrait (mais ça reste à vérifier) permettre l’écolage en 2,4 GHz, mais il faut alors se cantonner au firmware 2.62 pour la radio, Multiplex ayant, dans les versions plus récentes, totalement éliminé le signal PPM aux bornes du module HF au profit d’une communication numérique.
Ceci empêche d’ailleurs aussi le module Jeti TMe, spécifique à la RoyalEvo de fonctionner avec les firmwares récents.

Reste a placer une rallonge servo pour brancher la Jetibox à l'extérieur, en attendant la fameuse nouvelle box qui sera (on l'espère) bien plus performante et pratique.

A l’usage, le système met tout de suite en confiance. Le binding du récepteur, passage obligé en 2,4 GHz, se fait comme souvent avec un jumper, à brancher sur la prise dédiée aux sondes de télémétrie. Une fois cette étape effectuée, le récepteur se connecte à l’ émetteur en 1/2 seconde environ, ce qui est très rassurant comparé aux plusieurs secondes de redémarrage du Rx sur certains autres systèmes.
C’est en effet un des défauts de jeunesse du 2,4 GHz, une brève coupure du récepteur ou de l’émetteur, due à un faux contact ou même à un effondrement temporaire de la tension de l’accu de réception dû à un pic de consommation des servos pouvait, sur certains systèmes, provoquer le reboot du récepteur, engendrant une perte de contrôle pouvant durer plusieurs secondes, le temps que TX et RX retrouvent leur communication, ce qui laissait tout le temps au modèle d’aller se crasher au sol.
Ici, la reprise de contrôle est quasi instantanée, c’est très sécurisant.

Le traditionnel test de portée se fait en émission à puissance réduite, la Jetibox indiquant la qualité de réception sur chaque antenne du récepteur.

En vol, à plus de 400 m, la plus faible mesure que j’ai pu observer était de 5 sur une échelle de 9, ce qui laisse de la marge. De toute façon, le système prévient par une alarme sonore lorsque la qualité de réception devient critique, permettant de ramener le modèle à portée avant le passage en fail-safe.

L’autre grand plus de la télémétrie en matière de sécurité est le contrôle permanent de l’état de l’accu de réception. Ayant équipé l’Elektromaster avec un accu 4S en propulsion et embarquant 6 servos numériques, il était hors de question de me fier au bec du contrôleur brushless. J’ai donc choisi de l’alimenter avec un bec externe à découpage, pouvant sortir 7 ampères en pointe sous 6 volts, secondé en sécurité d’un petit accu Ni-MH 4,8 volts équipé d’une diode.
En temps normal, le récepteur travaille donc avec une tension de 6 volts. En cas de souci avec le bec, c’est l’accu de secours qui prend le relais, le récepteur n’étant alors plus alimenté qu’en 4,8 volts. Il est alors très simple de paramètrer le système pour avoir une alarme lorsque la tension de réception passe sous 5 volts. On est donc immédiatement prévenu en cas de problème en vol et il reste possible de poser le modèle afin d’y remédier.

On voit donc que la télémétrie offre un plus certain en matière de sécurité. Mais qu’en est-il de l’agrément de pilotage ?

Pour le savoir, j’ai équipé le planeur de la sonde Mvario, un alti/variomètre de 6 grammes avec ses câbles.
La sonde peut afficher sur la Jetibox l’altitude relative (en prenant le zéro au moment de l’allumage), l’altitude absolue (nécessite d’indiquer l’altitude du terrain), le taux de chute ou de montée en mètre par seconde ainsi que la température à l’intérieur du modèle.
Comme il n’est pas très indiqué de piloter avec les yeux rivés sur l’écran de la radio, il est possible de paramétrer un certain nombre de signaux sonores qui seront bien plus utiles qu’un afficheur:
Tout d’abord trois alarmes, l’une se déclenchant au delà d’une altitude réglée à l’avance, utile par exemple pour ne pas risquer de dépasser le plafond autorisé sur le terrain, deux autres sensibles au dépassement de valeurs de taux de chute et de montée. Leur utilité me semble plus obscure mais si quelqu’un trouve, qu’il me le dise, ça m’intéresse !

Mais le signal sonore le plus intéressant est évidemment celui du variomètre. Ce signal n’est hélas pas aussi clair que celui habituellement utilisé par les variomètres grandeur, avec un son discontinu dont la fréquence dépend du taux de montée, qui devient continu lorsque ce taux devient négatif.
La solution adoptée par Jeti est bien moins intuitive, le module émettant des sons de fréquence fixe. Le taux de montée sera matérialisé par des bips courts, de un à quatre bips en fonction de la valeur de ce taux, et par des bips longs (de un à quatre aussi) pour le taux de chute.

En pratique, ça se matérialise par une succession permanente de bips assez difficile à interpréter et franchement casse-pieds, surtout pour les autres pilotes... Je n’ose imaginer plusieurs pilotes équipés du même système volant ensemble, c’est la cacophonie assurée.
Heureusement, il est possible de paramétrer le module afin qu’il n’émette de signal sonore que lorsque le taux est soit positif, soit négatif.
Il est ainsi bien plus confortable de n’avoir que les information de montée, le module restant silencieux au zéro ou en descente mais signalant les ascendances.
Enfin, un second câble sortant de la sonde destiné à être connecté à une voie libre du récepteur permet de couper totalement le signal sonore du variomètre, afin de retrouver un peu de quiétude en activant un switch de l’émetteur, sans avoir à baisser les yeux pour couper le son dans la Jetibox dont les menus, bien qu’assez intuitifs, nécessitent trop d’attention pour être édités en vol.

J’ai aussi trouvé sur un forum allemand une modification intéressante du module qui permet de déconnecter le buzzer d’origine à volonté en y branchant une oreillette, ce qui permet d’être plus discret vis-a-vis des autres pilotes, tout en assurant une meilleure perception des signaux sonores. (Je n’ai pas essayé la modif moi-même, à faire à vos risques et périls, car dessouder le piezo d’origine proprement demande du soin.)

Au final, et après quelques heures de vol dans des conditions diverses avec un modèle volant loin de l’émetteur et avec d’autres émetteurs 2,4 GHz de toutes marques à proximité, je n’ai pas pu prendre le système en défaut, la liaison étant pour l’instant d’une robustesse absolue.
De plus, comme avec tous les systèmes 2,4 GHz, les interférences dues à la motorisation sont totalement ignorées par le récepteur et ne posent plus aucun problème.
A cette sécurité accrue vient s’ajouter tous les avantages d’un système moderne, rompant avec les anciennes transmissions FM, avec les possibilités de paramétrage très élaborées des récepteurs, ainsi que le retour d’infos de télémétrie à prix (et poids embarqué) abordable, puisqu’il suffit d’ajouter des sondes à un système de transmission inclus d’origine au récepteur.
Enfin, et contrairement à certaines grandes marques qui vendent leurs récepteurs et sondes à tarifs prohibitifs, profitant probablement de la captivité de l’utilisateur qui ne peut plus échapper aux récepteurs de la marque une fois son émetteur choisi, Jeti vend ses récepteurs à un tarif équivalent aux anciens récepteurs FM de qualité, avec des prix allant de 50 à 100 euros (en France).

Le seul doute sur le choix d’un système provenant d’une société de taille moyenne concerne sa pérennité dans le temps . En effet, si Jeti décidait d’abandonner la production, il serait alors impossible de se procurer de nouveaux récepteurs compatibles dans l’avenir.
Le choix d’une grande marque parait dans ce cas un peu plus sûr, tant il semble improbable de voir un Futaba, par exemple, décider d’abandonner ses nombreux clients. (Quoique l’annonce de l’abandon par Graupner du système IFS au profit de Weatronic laisse ses premiers clients dans l’expectative.)
Ce doute est quand même atténué par l’excellente réputation de Jeti, société européenne, et présente sur le marché depuis de nombreuses années avec des produits de qualité comme ses variateurs et contrôleurs moteur, ou ses récepteurs FM.

Pour :
- Prix raisonnable (100 € le module Tx, de 50 à 120 € le récepteur, sondes de 30 à 60 €)
- Marque réputée bien que de taille moyenne
- Grande fiabilité de transmission (diversity et frequency hopping)
- Temps de rétablissement de la liaison Tx/Rx très court (de 0,2 a 0,5 secondes)
- Télémétrie en standard sur tous les récepteurs
- Grande variété de sondes déjà disponibles, possibilité de sondes de sociétés tierces
- Grande variété de récepteurs (19 modèles), du 4 voies indoor au 18 voies
- Fonctions très évoluées des récepteurs (mixages, affectation des voies, etc.)
- Récepteurs pouvant fonctionner directement sous 1 ou 2S LiPo (tension de 3,2 à 8,4 V)
- Facilité d’intégration dans les radios (petite taille du module Tx, connectique complète)
- Faible consommation des modules Tx (autonomie radio presque triplée dans le cas de la RoyalEvo)

Contre :
- Consommation des récepteurs plus élevée qu’en FM (40 miliampères contre 11 pour un Corona 41 MHz, par exemple)
- Pérennité de la marque dans un marché en pleine évolution ?
- JetiBox de forme peu adaptée à l’utilisation (pas très discrète fixée sur la radio)... Ce problème devrait se régler courant 2010.

Pour les achats, il n’est pas toujours évident de trouver un revendeur ayant toute la gamme Jeti.. À part les grandes boutiques germanophones (Bichler et Lindinger par exemple, qui sont bien fournis mais relativement chers), il est possible de trouver des tarifs attractifs chez Weymuller, en France (mais avec assez peu de choix) et surtout chez Puffin, en Angleterre, qui peut être très compétitif en fonction du cours de la Livre Sterling et très raisonnable sur les frais de port qui sont de 2,5 Livres pour la France (ce fut mon choix et j’ai été très satisfait de leur service).

Pour info, voici un tableau regroupant les principales caractéristiques des plus petits récepteurs de la gamme.
A ceux-ci se rajoutent les R10, R12, R14 et R18 haut de gamme, dotés de boîtiers plus volumineux et de fonctionnalités plus avancées en matière de mixage, de connexions d’alimentation et de satellites supplémentaires.
Pour un aperçu de la gamme complète et télécharger de la documentation, vous pouvez vous rendre directement sur le site du constructeur : http://www.jetimodel.com/

Quelques liens, notamment d’adaptations du système à d’autres modèles d’émetteur :

- Pierre Rondel, qui relate sur son excellent site la modification de sa Futaba T12FG

- Un pas-a-pas sur le site de Jeti pour équiper une FX30 (semblable à la T12)

- Un album photo d’une Multiplex 3030

- Un long post sur le forum modelisme.com, qui m’a bien été utile pour me renseigner avant de faire le pas.

Contacter l'auteur : nicolo@jivaro-models.org

 
 
 
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